9 avril 2020
Le monde s’arrête, mais je sens la forêt respirer au loin...
Arbre, tu m’enseignes. Loin de moi, tu me parles. Tu me rassures. Je sens à quel point tu es bien là-bas dans ton fief, heureux, te préparant déjà à l’émergence de tes premiers bourgeons. Mon impatience humaine se dissout à l’écoute de tes murmures. Bloqué...